De par l'émergence des nouvelles technologies, les environnements urbains ont vu se développer un paysage de réseaux de communication aussi invisibles qu'importants pour les individus.
Les designers norvégiens Timo Arnall, Jørn Knutsen et Einar Sneve Martinussen ont mis en oeuvre le second volet de leur projet Touch afin d'explorer les impacts d'un tel phénomène intangible sur nos expériences quotidiennes.
En plus des disparités d'équipement propres à chaque métropole, cette expérience montre de quelle façon les formes architecturales et les matériaux de construction transforment la répartition des ondes. De plus, les réseaux Wifi seraient à part entière de l'environnement urbain, reflètant la présence d'organisations ou un signe d'appartenance au sein d'une métropole. Malgré leur caractère informel et complexe, ces réseaux influenceraient de même l'usage de l'espace, et apparaîtraient comme un nouvel élément à considérer.
Pour en savoir plus, l'article d'Einar Sneve Martinussen ainsi que la précédente expérience "Immaterials: the ghosts in the field".
Sources: YOUrban, Nearfield