La main ensanglante sur une poitrine battante
Elle fait le voeu de venger la mort de son fils
Plongée au coeur d'un ruisseau plein de sacrifice
Elle crie la colère, siffle dans l'ombre les bêtes
Qui l'ont prit son enfant et tout ce qu'elle aimait
Pour ne lui laisser que la haine qu'elle détestait
Mon ame ne plus blanc que ce beau tableau noir
Au limite ne pouvant s'enfouler dans un entonoir
Pour remplir ma patrie d'amour helas effacée... a suivre