Il s'agit en fait d'une escroquerie téléguidée depuis l'Afrique par un individu que la comptable n'a jamais vu, mais avec lequel elle entretenait des contacts par internet et dont elle était tombée amoureuse.
Pour couvrir les versements sur les comptes situés en Afrique, Hélène T., qui travaillait au siège liégeois de la société, avait émis de faux bons de commande.