Dans la logique classique de cette démarche, on essaierait de contacter (au hasard) 100 followers ? Pour se fixer un taux de transformation de 2,3,5% ??
Tous les services qui vont dans ce sens, de la tentative de gestion automatique des relations sont une perte de temps considérable.
S'il peut exister des usages business avec Twitter, une transposition aveugle de méthodes court-termistes et de mass marketing est tout à fait étonnante. Il y a une incompatibilité évidente.
On nourrit de la défiance, un bouche-à-oreille négatif. Les personnes vous évitent et décident de ne plus vous suivre pour ces raisons précises. Je vous invite à suivre le hahstag #dadm (dumb auto direct message).
Les informations contenues dans le profil (notamment le lien vers le site web, le blog) et les différents contenus partagés suffisent largement. Sont-ils pertinents (en termes de centre d'intérêt, d'apport) et sont-ils engageants ?
De manière générale, qu'apportent les médias sociaux ? Ci-dessous, un dessin reprenant trois phases : l'émotionnel, le relationnel et le transactionnel.
En tout cas, trois leviers très importants parmi d'autres sur Twitter :
- la facilitation des rencontres physiques et la possibilité d'aller en profondeur dans les rencontres virtuelles
- la sérendipité dans les lectures et les rencontres
- les multiples interactions "online" pour enrichir la relation "offline" (ou vice versa)
Cela amène aussi à parler de retour sur engagement et ensuite de retour sur investissement. Construire des relations durables demande de la créativité dans le design d'objets de conversation, de l'authenticité, de la disponibilité et de la réactivité.
(crédit photo)