Même si la pièce que je consacre à Gulliver est prête (du moins sur le papier, puisque nous en travaillons la mise en scène) et qu’il y a, derrière, deux autres pièces (le Petit Prince, les Fables), ma préoccupation majeure en termes de publication est celle de la chanson et d’un ouvrage sur les rues de La Rochelle.
Profitant de ces vacances, je fais le point sur cette matière disponible que constituent mes dernières pièces de théâtre susceptibles d’intéresser des éditeurs. J’ai en effet pris le parti de réserver à Aléas la dernière œuvre et d’essayer de nouvelles stratégies pour mes pièces. En ces temps de printemps propices à la germination, je n’en dis pas davantage