la grande amour

Publié le 25 février 2011 par Dubruel

Balthazar qui approche tous les styles ne recule pas aujourd’hui à rendre hommage à la grande amour. Oyez plutôt :

Une cochonnerie (pas une soue !)

Cette petite péripatéticienne

Etait aussi grande musicienne.

En fait, elle jouait admirablement

Des anches

Et délicieusement

Des hanches.

Elle s’appelait Marinette.

Et jouait de deux clarinettes :

…Aussi bien alto que basset

Comme une déesse.

Suffisait d’ouvrir son gousset.

Elle avait, cette altesse,

(Quoi d’étonnant ?)

Quand on a le souffle déhiscent

Un faible pour Baltha.

C’est bêta,

Mais après coït

Elle restait coite 

Comme une néophyte

Maladroite !

Ça, une putain?

Tintin !

Je conjouis et même compatis.

…Tant pis, c’est dit !

c'est y pas gentil ?