Elle fouille mon corps, en spéléosexuelle avertie, investit mon anatomie comme le Jules ŕ la conquęte de ma gaule, me séduit ŕ la façon d’Alexandre de Grand, de terre inconnue en pays conquis, chaque jour me découvre, elle me trouble !
Sa bouche se referme sur moi pour un baiser liquide, ses mains sur mon corps me redonnent une jeunesse loin derričre moi.
Ma meuf a l’âge de moi, de ręves en découvertes nous sommes complices, de draps marqués de nos ébats, en rions ensemble, de nos caresses verbales surgit toujours de la dispute amoureuse, ses caresses sur mes tétons me font sentir femme alors que je me veux macho, un œil complice me fait l’esclave de ses désirs, d’un geste son valet ou son Maitre, se rebelle ou se soumet, la belle serait-elle faite pour me plaire ?
De mes désirs inavoués, elle seule en est la détentrice, et je ne vous dirai pas mon amour pour elle…
Comme je ne vous dirai pas son âge, elle a mon âge, celui de la folie des gens qui cherchent juste ŕ vivre et ŕ aimer…
Pour aimer…