A l’heure où les plus-values immobilières sont fiscalement menacées, rappelons qu’il existe une exonération souvent méconnue, celle dont bénéficient les retraités ou invalides de condition modeste, c’est-à-dire dont les revenus annuels n’excèdent pas par exemple 15 000 € pour un couple sans enfant. Si cette condition a l’air difficile à remplir, il peut arriver qu’elle survienne fortuitement, que ce soit lors du décès du premier conjoint conduisant à une déclaration faible du conjoint survivant au titre du reste de l’année ou, moins tragiquement, en cas de déficit foncier suite à travaux. L’occasion peut alors faire le larron pour une cession exonérée…
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