Une manière de prendre ses distances avec son prédécesseur, Lula, qui n'a pas toujours été tendre avec les médias nationaux et internationaux, allant même jusqu'à expulser le correspondant au Brésil du "New York Times" qui soupçonnait Lula d'alcoolisme en 2005. Dilma Rousseff ajoute même: "notre société au Brésil arrive à maturité. Nous devons vivre ensemble en respectant les différences d'opinions et de croyance. la liberté et la pluralité de la presse est essentielle dans notre pays."
Dilma Rousseff n'a pas peur des critiques. Il est vrai qu'elle n'est qu'au début de son mandat et qu'elle vit encore une lune de miel avec la sphère médiatique. Pour conclure, la présidente du plus grand pays d'amérique du sud ajoute: "un gouvernement doit apprendre à vivre avec les critiques des médias. C'est une preuve que nous sommes attachés à la démocratie."