Tasha de Vasconcelos a écrit un livre. Grande nouvelle. Une de plus!
-Qui? Hurle quelqu'un dans l'assemblée.
Cette belle grande plante que le Gotha balade et exhibe, comme un objet de désir, au gré de ses humeurs, dans ses soirées mondaines, ses dîners princiers et royaux.
Et le titre de son bouquin en dit long. "La beauté comme une arme" Tout un programme!
Ses charmes auraient-ils perdu de leur pouvoir pour que la dame se recycle dans la littérature de potins, qu'elle se fourvoye dans des confidences que les amateurs vont s'arracher?
Trop facile et indigne d'une soi-disant classieuse aristocrate de déballer le linge sale de ses amis, relations et amants, en public. Exemple: son déballage sur le Prince Laurent de Belgique qu'elle traite, dans son livre, de prince déjanté qui a cru l'éblouir, écrit-elle, avec sa ferrari bleue afin de lui déclarer sa flamme. Elle a, peut-être, un faible pour les 2CV.
Si toutes les courtisanes dont celles qui, de leurs talons, battent les pavés des trottoirs, celles façonnées par les Madame Claude d'hier et d'aujourd'hui et celles enfin, qui naviguent dans les plus hautes sphères et côtoient les grands de ce monde, devaient se livrer à de tels barbouillages, les éditeurs seraient obligés d'engager du personnel supplémentaire pour trier les manuscrits.
Etait-ce vraiment utile, belle dame, de jeter vos croustillantes anecdotes en pâture et ainsi, d'une certaine façon, de cracher dans la soupe qui vous a nourrie pendant quelques années?
Ne vous a-t'on pas appris qu'il n'est pas de bon ton de brûler ce qu'on a aimé?
Avis partagé, à lire: article du blog d'Isaac Paris.
Photo: Paris-Match.com -30 janvier 2011
"La beauté au service de l'enfance"
"Sa notoriété de top model lui ouvre les portes des grands donateurs......" A méditer.
Toutefois, si la démarche est sincère et sans ambiguïté, j'applaudis!