Pour l'enfant de « Djoliba », son village natal qui se trouve à quelques encablures de Bamako, il ne saurait supporter un Laurent Gbagbo celui-là même quia tué et tue encore nos compatriotes. « J'ai toujours défendu les droits de l'homme tant au mali qu'en Europe. D'ailleurs, en France je suis toujours au devant de ce combat », a laissé entendre Salif Kéïta. Pour cet homme de paix, il ne comprend pas ces accusations diffamatoires à son encontre et s'insurge contre cet état de fait. « Je regrette mais un bon journaliste doit aller à la source. Personne ne m'a contacté pour confirmer ces dires. C'est dommage ! », a-t-il martelé. Dans son entourage, on ne comprend pas le fait qu'on approche Sakif Kéïta du despote Laurent Gbagbo.
« Je ne peux pas supporter quelqu'un qui tue mes compatriotes. Aussi, en Côte d'Ivoire je suis respecté à cause de mon combat pour la liberté », a expliqué Domingo.