1/ Stéphane Pocrain
L’ex porte-parole des Verts, ex-pensionnaires des émissions de Laurent Ruquier et ex-candidat (des plus éphémères) à la présidentielle a été condamné à deux mois de prison avec sursis et 3000 euros de dommages et intérêts pour avoir frappé son ex-compagne. Stéphane Porcrain a expliqué son geste par "un contexte difficile de séparation, avec des crises permanentes".
En plus du fait que frapper une femme est une bassesse écœurante, pas sûr que ce type d’exemple donne une bonne image de la nouvelle génération d’hommes politiques…
2/ François de Panafieu
La candidate UMP à la mairie de Paris a semble-t-il la mémoire qui flanche dès qu’il s’agit de ses votes à l’Assemblée nationale, notamment sur les tests ADN. Alors qu’elle se gargarisait d’avoir voté contre, il a fallu que Serge Moati lui sorte le relevé de l’Assemblée nationale pour qu’elle souvienne s’être en fait abstenue…
On savait François de Panafieu outrancière dans ses documents de campagne anti-Delanoë, on la sait désormais menteuse (et honteuse de ses votes). Pas sûr qu’elle ait la dignité et la décence requises pour être maire de Paris.
3/ Roger Karoutchi
Attaquer une proposition des Verts comme celle de mettre des péages sur le périphérique n’est pas en soit condamnable. Mais quand le groupe UMP à la région Ile-de-France le fait, il pourrait au moins vérifier la véracité de la photo qui illustre l’argumentaire…
(pour voir la photo sur Rue89…)
Comme les conseils régionaux gèrent la formation professionnelle, Roger Karoutchi, le président du groupe UMP, et ses troupes devraient se faire payer une initiation à Photoshop, histoire de leur éviter d’être ridicules… au moins sur ce point.