Auteur : Stephen Carrière
Titre original : Comme des héros sans guerre
Éditeur : Le Livre de Poche
Publication : 2007
Nb de pages : 186
Lu : Février 2011
Résumé:
Quelque part aux États-Unis, un immeuble de briques rouges. Entre ses murs, sept hommes et femmes aux destins brisés ne partagent de leur quotidien que la haine et le mépris. Au carrefour de ces solitudes, un colosse mélancolique : Sauveur, boxeur déchu, gardien désoeuvré, glisse parmi les ombres en espérant s’y fondre et disparaître. Lorsqu’un jour la violence fait voler en éclats leur triste équilibre, Sauveur décide de rompre une vieille promesse : cette fois, il va intervenir. Une dernière cause désespérée à relever pour partir dignement. À condition que d’autres, aussi paumés que lui, ne s’en mêlent pas…
Quatre journées d’apocalypse. Une épopée frénétique où le passé douloureux resurgit pour lutter contre un présent qui laisse parler les armes. Héroïsme, suspense, humour, désirs inavouables et rêves de rédemption : Stephen Carrière dessine un univers sombre et sauvage, traversé par des éclats de tendresse et de grandeur, entre western urbain et histoire d’amour impossible.
Mon avis :
J’avoue que j’ai eu beaucoup de mal avec les premières pages,heureusement que j’ai tenu le coup
L’histoire se déroule en quatre jours.
Il y a la pute, le nazi, le pédophile, le terroriste, le camé , le meurtrier, la sorcière et la morte.
Tout ce beau monde habite dans le même immeuble,se cotoit plus au moins tous les jours .. dans un mélange d’ambiance à la limite du cordiale, électrique et explosive.
Des personnages,que dis-je des HÉROS, touchants qui trimballent poids de leur passé trouble et qui font preuve d’un courage exemplaire.
La phrase qui me vient à l’esprit après lecture de ce livre : Une histoire qui fait rêver.
Arriver à ce qu’un groupe de personne ,qui se déteste, s’entraide dans les moments difficiles, voilà une chose rare mais qui le fait de son propre grès cela relève du miracle.
Un très beau message d’espoir.
Ce qu’il faut avant tout savoir sur l’auteur:
Directeur éditorial de littérature étrangère au sein de la maison d’édition de Anne Carrière, sa mère, Stephen Carrière,qui est né en 1974, a écrit son premier roman intitulé ‘Une vieille querelle’. Ce dernier a rejoint la liste sélective de la rentrée littéraire 2004 et a fait l’unanimité au sein des médias.