- Meilleur album francophone : Quai d’Orsay- T.1 par Lanzac et Blain (Dargaud);
- Meilleur album étranger : Asterios Polyp par Mazzuchelli (Casterman);
- Meilleure série : Long John Silver par Dorison et Lauffray (Dargaud);
- Meilleure série / premier tome : Un long destin de sang - T.1 par Laurent-Frédéric Bollée et Fabien Bedouel (12Bis) l’album n’est pourtant pas signalé pendant les nominés dans ce numéro de [dBD];
- Meilleur dessin : Juanjo Guarnido pour Blacksad - t.4 (Dargaud);
- Meilleur scénario : ex-aequo Laurent-Frédéric Bollée pour Un long destin de sang, T.1 (12Bis) et Fabien Nury pour La mort de Staline - T.1 (Dargaud);
- Révélation 2010 : L’assassin qu’elle mérite- T.1 par Lupano et Corboz (Vents d’Ouest);
- Meilleur livre d’humour : Cadavre exquis par Pénélope Bagieu (Gallimard);
- Meilleur album jeunesse : Le trop grand vide d’Alphonse Tabouret par Sybilline, Capucine et Jérôme d’Aviau (Ankama);
- Meilleure adaptation littéraire : La position du tireur couché par Jacque Tardi d’après Patrick Manchette (Casterman);
- Meilleure intégrale : Tout Jijé (Dupuis);
- Série culte : Valérian par Pierre Christin et Jean-Claude Mézières (Dargaud) – ce prix n’est pourtant pas indiqué dans ce numéro de [dBD];
- Prix d’honneur : Albert Uderzo (une autre surprise de ce palmarès)
En plus de 72 chroniques désormais dans des tailles moins formatées, le magazine fait un zoom sur l’album du mois, Les Survivants de Léo (Dargaud), sur la nouvelle saga Des Dieux et des Hommes de Jean-Pierre Dionnet (Dargaud), sur 1066 de Patrick Weber, également collaborateur de [dBD], et Emanuele Tenderini (Le Lombard), sur Les Temps nouveaux de Warnauts et Raives (Le Lombard), sur la série Lloyd Singer de Luc Brunschwig et Olivier Neuray (Bamboo), sur Les Enquêtes du Commissaire Raffini de Rodolphe et Maucler (Desinge & Hugo & Cie) et bien sûr compte tenu de la couverture sur Wollodrin de Jérôme Lereculley et David Chauvel (Delcourt). Coté histoire de la BD, le magazine s’intéresse à Ever Meulen, le « Michel-Ange des grosses cylindrées » et à Milo Manara. En conclusion, l’humeur du mois décrypte le succès de la jeune maison 12 bis.