La démence me poursuit
De nos humeurs, j'en compatie
La nuit me poursuit de son silence
Le jour sème des folies
Un rire… un silence… un bonjour... un silence…
Ma face n'a rien d'enfariné.
Pierrot le voit bien du haut de son toit.
Mon visage blafarde les influences lunatiques.
Je monte à marée haute,
Et la joie m'explose de doux sentiments.
Je descends à marée basse
Et je me referme comme un coquillage.
La perle des perles compose la mélodie
Endiablé de mystères, bien éloignés.
De mon moi je jongle à votre Moi en labeur.
Rarissime des ombres se dessinent…
Au jour levant vient se cacher des obscurités.
Possédée par ce Démon de Lunatisme,
Je déambule en funambules
Dans vos ombres d'incertitudes.
Je suis ainsi, ceci est en moi.
Lunatique,
Je suis lunatique...
Je suis extrêmement lunatique.
Je suis de ces Lunes
Qui vous croisent de ses yeux
Et vous désarme dans un calme paisible… de glace.
Je suis de ces Lunes
Dont la pensée me guide
Auquel nous ne comprenez point…
Je me change en double face.
Les avis se suivent et se succèdent.
Le mystère d'une auréole
Comme d'une Etoile du Matin.
Vesper me guide sur les pas du Savoir…
Que dire des lunatiques ?
Sommes-nous faux ? Les aimez-vous ?
Sommes-nous vrais ? Les estimez-vous ?
Je me fous de ces questions !
Tout comme des réflexions qui me font Sourire…
Lunatique ! Je le suis ! Je le reste !