OUI à internet au bureau POUR une utilisation professionnelle et personnelle.
Quelques chiffres pour comprendre la situation qui pourrait sembler indéfendable :
- 60 minutes par jour en moyenne sont employées pour surfer sur Internet depuis notre bureau à titre personnel
- 1.47 mois sur un an
- 14 % de chute de productivité lors de l’utilisation d’internet à des fins personnels
- …
C’est ce qui ressort de l’étude réalisée par Olfeo : Internet au bureau .
Il y a des solutions autres que la censure ou la coercition.
Les 6 enjeux à maîtriser pour un internet professionel et personel au bureau.
La société Olfeo propose 6 enjeux à maîtriser par les entreprises :
- la chute de productivité
- le juridique
- acte illicite d’un employésur Internet
- visite d’un site illicite
- propos diffamatoires sur un blog par exemple
- acte illicite d’un employésur Internet
- la sécurité du système d’informationde l’entreprise
- propagation de logicielsmalveillants :
- virus,
- phishing,
- spywares
- …
- propagation de logicielsmalveillants :
- la diminution des performances duréseau de l’entreprise
- disponibilité de bandepassante
- la fuite d’informations
- l’image de la société appelécommunément « E-reputation »
Pour le 1er risque, je suis convaincu que la communication et la définition de ce que l’on attend du collaborateur sont des solutions.
Les managers doivent :
- Sensibiliser les collaborateurs aux dangers liés à l’utilisation d’Internet
- Metttre individuellement une charte informatique
- Manager avec un style ok et des relations adultes :
- Fournir des objectifs « SMART » de travail
- Responsabliser face l’emploi et la mission
- Etablir des relations responsables entre collaborateurs et managers
- Pratiquer la délégation
- …
L’idéal serait de choisir une organisation entrepreneuriale en « équipes autonomes » . Voir l’exemple de R. SEMLER ou de Volvo qui ont sus en leur temps de crise passer aux équipes autonomes .
Les anciens managers se souviendront de l’époque du solitaire et du démineur sur le PC équipé en Microsoft 3.1. Le problème était le même :
- évolution technologie de méthode de travail
- découverte de nouveau outils
Pour ma part, j’ai toujours laissé les applications ludiques car elles permettaient la prise en main de l’outil « PC ». En quelque sorte, cela permettait l’apprivoissement de la machine par les opérateurs.
Je maintient mon affirmation initiale : Oui à internet au bureau pour une utilisation professionnelle et personnelle.