English
DJ T.’s new album “The pleasure principle” immerses itself, wholly and rapturously, into electronic music’s legacy of authentic soul. It is etched and crate-dug, organic and retro-futuristic, a paean to times past that appeals to modern sensibilities. “Burning” is the album’s debut cut, a brooding, mid tempo 118BPM track where uniquely programmed vocals add broad brushstrokes of colour and texture to T.’s masterful creation. It has been co-produced with Lopazz. Nick Maurer, former front man of Chicago’s iconic Greens Keepers is no stranger to being at the fore of jacking dancefloor fare, and his vocals light up “Burning” accordingly.
1. DJ T. - Burning (Art Department Remix) PM136;center" target="_blank">2. DJ T. - Burning (Club Mix)
entirely beatless, using deep space sounds and a wavering synth note to turn the screw on the menacing atmosphere. With the introduction of a double-stepping beat, he keeps to the original tempo but adds his own deep, shadowy signature.
So, watch out for the upcoming album “The pleasure principle”, it will for sure follow this atmosphere that I really like!
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Francais
Le nouvel album de DJ T. "The pleasure principle" nous plonge, entièrement et avec ravissement, dans l'âme authentique de la musique électronique. Il se compose principalement de sons organiques et rétro-futuristes, qui fait appel à la sensibilité moderne. Plus spécifiquement, "Burning" est le premier extrait de cet album, avec tempo de 118BPM où l’on retrouve une voix unique et colorée, laissant place à une création magistrale. Ce titre co-produit avec Lopazz est en featuring avec Nick Maurer, ancien membres du groupe iconique de Chicago les Grenns Keepers. Il n'est donc pas étranger à la force de ce morceau dancefloor, avec une voix qui vous réchauffera.
Sur une impulsion sonore qui sonne comme un organe lointain couplé à des notes é et déformé, dans un sinistre étonnant: quelque chose s'est passé. Quelque chose qu’on ne peut expliquer. Brulant à l'intérieur, brulant même sous la pluie. Alors que sa voix fleurie sur un tempo morose dans une atmosphère nocturne, elle donne naissance peu à peu à un vocal digital, alternant entre profond baryton et alto soulful.
La douce house mélodique proposée dans le remix d’Art Department se situe dans la remarquable lignée de leur travail effectué 2010, efficace et entrainant. Le duo canadien dissèque l'original pour mettre à nu les notes mélodiques, avec des éclats et des impulsions de basse, distordue à volonté. Leur signature « moins c’est plus » ajoute une touche mélancolique, pleine de suspense. À la fin du remix, vous reconnaitrez sans doute aisément le toucher inimitable de DJ T.
Quant au remix techno de Redshape, il nous propose les deux premières minutes de son remix sans beat, utilisant des sons d’un espace lointain et d'une note de synthé hésitante créant une atmosphère menaçante. Avec l'introduction d'un double beat, il garde tout de même le tempo de la version originale mais ajoute sa propre profondeur, une signature qui vient de l’ombre.
Alors faites bien attention à la sortie prochaine de "The pleasure principle", qui devrait à coup sûr évoluer dans une ambiance similaire que nous apprécions tout particulièrement!
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