Le dessin, qui est attribué à Pininfarina, n’est pas des plus élégant et rappel celui de la BMW série 5 GT, la face avant est plutôt réussi surtout en comparaison à la partie arrière vide, massive et dont les feux pourrai être emprunté à un autre modèle.
A l’intérieur, on remarque la console centrale très inclinée et un tunnel de transmission imposant. L’ensemble fait chic et luxueux grace notamment aux sièges aux motifs à losanges et surpiqûres blanches mais quelques détails sont gênant pour une voiture qui veux aller chercher les allemandes. Comme par exemple le volant et les compteurs sont emprunté à d’autre modèle, les vitres qui sont totalement blanches. Le poste radio à l’arrière laisse suggérer que l’ensemble multimédia n’est pas de dernière génération.
Sous le capot De Tomaso de cette SLC , De Tomaso annonce en trois motorisations, un V8 essence de 524 ch, un V6 essence de 296 ch ou encore un V6 Diesel de 247 ch.
De Tomaso prévoit la production de 3.000 exemplaires de son SLC chaque année, à un tarif débutant à 85.000 €, c’est tout le mal qu’on leur souhaite. Mais il sera difficile d’aller chercher le BMW X6 surtout quand on connait le sucées du BMW Série 5 GT dont le profile est proche de l’italien et ceux malgré une qualité de fabrication irréprochable . De Tomaso annonce par ailleurs l’arrivée dans la gamme d’une concurrente de la Porsche Panamera.