Je t'immagine dans des draps de soie pourpre.
Dans ta, si douce, robe de chambre en satin,
Tu te prélasse avec la grâce d'un félin,
Dont un hâle malicieux caresse la croûpe.
Dans ton regard, souligné de noir
Je me perds,en rêveries, brins de nostalgie,
Avant d'abbandoner, de me rendre à la vie,
Une dernière fois je sens ton souffle d'ether.
Je décide alors de quitter mon bourbier,
Dehor, un chaud soleil révèlle ces filles,
Aux longues jambes, aux cheveux longs qui oscillent,
Dans le métro, sur les troittoirs et les allées,
Elles paradent et dansent en quête de passions,
Plus d'hier ni de demain, aujourd'hui est si bon !