Étape annuelle au Grammy

Publié le 16 février 2011 par Go11
Nous pensons qu'il nous est indispensable de regarder la soirée des Grammy Awards à la télévision; cela nous permet de bien rester au courant de ce qui se passe dans l'univers de la chanson et d'apprendre qui est dans le coup et qui ne l'est plus. Il nous est ainsi possible d'avoir une conversation informée et intelligente à propos d'Eminem ou de Lady Gaga. Ne vous méprenez pas, nous les aimons tous beaucoup et en particulier cette jeune dame, Stefani Germanotta, qui pousse les performances passées de Madonna encore plus loin, et apparaît comme une jeune personne des mieux intentionnée. Nous ne sommes pas « accro » de sa musique, mais c'est là juste une question de goût personnel.
Donc, en plus de suivre les vedettes du « Top 40, » nous voulions voir comment trois « personnes d'âge mûr » invitées à se produire au cours de la soirée, parvenaient à tenir le coup. Nous avons donc eu le privilège de voir Mick Jagger (67 ans), Barbra Streisand (68 ans) et Bob Dylan (69 ans). La dernière fois que nous avions vu M. Dylan c'était à un concert à Park City en 1989 et il était déjà bien fané, c'est pourquoi quand il s'est attaqué à « Maggie's Farm » avec l'aide d'un groupe de chanteurs qui faisaient le poids, nous nous sommes rendu compte qu'il était temps pour lui d'arrêter de travailler (à Maggie's Farm ou ailleurs). Mme Streisand se présente toujours aussi bien, mais sa voix elle-aussi a subit les assauts du temps et je lui conseillerai d'éviter de monter sur une scène dans le futur immédiat.
Quant à notre favori, la barre de dynamite nommée Mick Jagger, son niveau d'énergie est toujours aussi incroyable. J'ai toujours pensé qu'il devait être sous l'effet du « speed » ou autre type de stimulants, mais plus j'y pense, plus je me dit qu'il est alimenté par un réacteur nucléaire. Je crains du reste que son énergie, pourrait détruire un jour sur son corps qui apparaît du reste de plus en plus frêle, voir squelettique, donc de plus en plus poussée à sa limite, un peu comme si l'on installait un moteur de Ferrari sous un capot d'une 2CV Citroën. Si j'étais lui, je ferais attention et si j'étais son médecin, je le mettrait immédiatement en arrêt de travail!