Celle là tiens : les seins des femmes grossissent quand l'environnement se dégrade. Constat suite à la commercialisation en Grande-Bretagne de soutiens-gorges bonnet L. Ca commence à faire un paquet...
Il parait que dans les années 50, le bonnet B était la norme. Aujourd'hui, ce serait plutôt le C, voire le D. Et pas uniquement dans le Nord. Bon, moi ça ne me dérange pas plus que ça, mais y aurait pas même des causes pas bien marrantes...
Il faut avoir conscience qu'il y a des scientifiques très sérieux qui ont fait des études sur la taille des tétés, et en ont tiré des conclusions. Par exemple le Dr Marilyn Glenville, nutritionniste spécialisée dans la santé des femmes et des hormones, qui pense que l'alimentation grasse n'est pas la seule cause à l'augmentation des poitrines.
"Il est clair que nous ne parlons pas seulement de matières grasses, mais les tissus mammaires ont également augmenté. Nous devons donc regarder ce qui stimule la croissance de ces tissus, c'est-à-dire les niveaux d'oestrogène, l'hormone sexuelle femelle. C'est l'oestrogène qui transforme notre corps à la puberté"
Et donc ce sympathique Docteur de donner sa conclusion : "Ces femmes à forte poitrine sont nées de mamans qui ont pris la pilule pendant de longues périodes, ce qui n'était pas le cas il y a quelques décennies. Nous ne savons pas encore comment la pilule a augmenté le taux d'oestrogènes, mais il est clair que cela affecte le foetus". Les oestrogènes ont donc une influence certaine sur la taille de nos lolos...
L'article va plus loin, en mettant en avant la présence d'oestrogènes environnementaux, qui ont une influence cachée mais certaines sur ce paramètre mammaire. Mais aussi de composés chimiques qui imitent l'action des oestrogènes. Comme le bisphénol A, présent dans "la fabrication de biberons, de conserves, de canettes, de bouteilles en plastique, de pots en verre, d'équipements électroniques, de tickets de caisse,de déodorants, cosmétiques, maquillage ou hydratants. Nous voilà beau (enfin, avec des gros lolos)...
Et pour les hommes, quelles actions ? Ben ne sautons pas au plafond et ne sortons pas les réglets pour se la mesures : ces hormones ont conduit à une diminution du nombre de spermatozoïdes. On gagne le gros lot...
Alors que dire de plus sur l'information ? Oui, nous vivons dans un environnement pollué, pas uniquement en Bretagne. On en rigole avec cette information : ça donne des gros nichons. Youpi, on pourra laisser la Playstation 3 ce soir...
Mais quand même... Après le sourire et le coté grivois de l'information, il y a peut être une réalité un peu plus sombre...
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