Avec Peut mieux faire... on se retrouve à l’école, dans la salle des maîtres avec tout ce qui s’y passe et qui s’y dit, ou dans les classes pendant les cours. On est du côté des instituteurs soucieux des enfants, appliqués, généreux, souffrant des inégalités,confrontés à toutes les difficultés de la profession, au cynisme des autres enseignants, aux lourdeurs de la hiérarchie, et désespérés par tant d’obstacles alors qu’ils veulent bien faire.
Le livre vise à installer une connivence avec le lecteur. C’est documenté, observé, intéressant à ce niveau-là. Mais on ne peut s’empêcher quand même de se rappeler ce proverbe sur la bonne littérature et les bons sentiments, et de se dire que le livre porte bien son nom.
En même temps, Leyla Tatzber publie un recueil de nouvelles, Rondes. « Neuf nouvelles autour de la création, de la mythologie, de la pensée et du rêve. »
Leyla Tatzber, Peut mieux faire... Rondes, Editions de L’Hèbe