... Bon, si notre Première Dame qui ressemble de plus en plus à Jocelyne Wildenstein tant elle a les traits tirés, aha, a le droit de faire une version italienne de "Douce France", je ne vous pas pourquoi je ne pourrais pas le faire ni qui pourrait bien m'empêcher de le faire aussi. Non mais. Allez, viens, viens, je t'attends. Hop, hop, jeu de jambes, i sting like a bee. Bon, ça va, il n'y a personne. Alors je me lance aussi mais pas en italien, je n'y connais rien. Je suis Français, moi, monsieur (ou madame). Voici donc ma version française à moi de "Douce France" car si Carla peut le faire, je peux le faire aussi et même l'écrire à ma sauce. Oh. Hé. Hein. Bon? Alors. Vous êtes prêt(e)s à chanter ? 1, 2, 3, musique.
Il revient à ma mémoire
Des souvenirs familiers
D’une terre incarnant l’espoir
Pour les faibles, les opprimés.
Au tableau de ton école
J’apprenais à pleine voix
À chanter la Carmagnole
Et Ah, ça ira, ça ira.
Douce France
Cher pays de mon enfance
Maintenant, tu sens le rance
Le racisme, le déshonneur.
Tes outrages
Étiolent à ton passage
Cet espoir et cette image
Dont tu étais défenseur.
Oui je t'aime
Mais je t’assure de ma haine
Oui je t'aime
Mais tu me brises le cœur.
Douce France
Mais d’où viennent tes absences
Ton esprit est en partance
Sais-tu bien que tu m’écœures ?
J’ai connu un pays sage
À l’humanisme généreux
Tiré de si longs voyages
D'amitiés sous d’autres cieux.
Mais combien je peine à faire
Bonne figure à l’horizon
De ce que tu fais à ma chair
à mon pays et mes illusions.
Douce France
Sale pays de mon enfance
Où est ton indépendance ?
Où sont passées tes valeurs ?
Image exclusive : Carla bruni tentant de prononcer un "A". C'est peu gueugné.