Près de 200 boutiques, sur les 650 du territoire étatsunien seraient alors dans le viseur de cette banqueroute – sans que l’on puisse savoir si leur fermeture serait le départ d’un renouveau. D’autant que pour l’heure, les porte-parole de la société se refusent – évidemment – à tout commentaire (Actualitté).
D’autant que, si des liquidateurs sont impliqués prochainement dans le sort des librairies, les éditeurs et autres fournisseurs en relations commerciales avec Borders aimeraient bien avoir leur mot à dire, attendu qu’ils n’ont pas été réglés depuis au moins décembre.
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