Déjeuner chez Sensi

Publié le 28 novembre 2007 par Chrisos

Sensi/Faudel,
1 bis rue Jean Mermoz, 75008 Paris.
Tél. : 01 42 90 29 10.

Déjà testé en juillet, j’avais eu du mal la première fois, parce que leurs tagines sont très bien si vous n’avez pas faim et que vous voulez vous bruler. La deuxième fois, nous étions dans la salle du bas, la serveuse, Anissa, étant plus agréable que le gentil mais débordé serveur de la fois d’avant, et ayant opté pour un couscous plus généreux, ça m’allait, surtout qu’à chaque fois, je suis invité, et que je n’ai pas forcément le choix! Ce ne serait surement pas mon premier choix, mais une fois tous les deux-trois mois, ça passe et ça change.

Déjeuner travail à 5 donc. Formule à 21€, entrée+plat ou plat+ dessert. Ce sera la première pour moi, avec un brick à l’œuf pas mal du tout, suivi d’un couscous merguez. Dans ma famille, feu mon grand-père maternel, spécialiste du “prépare moi le couscous chérie”, était fondamentalement anti merguez dans le couscous. Ma mère avait déjà franchi cet interdit depuis des années, moi j’essayais de respecter la mémoire de mon grand-père, jusqu’à ce déjeuner. Je suis vraiment sans foi ni loi, mais je ne voulais pas de leurs boulettes de kefta. Avec des merguez, ce n’est pas mal, mais avec juste des merguez ça fait un peu pauvre, je trouve…

Nous étions parmi les premiers arrivés à 12h45, cela s’est presque rempli en bas, avec quelques tables en haut. Clientèle du quartier, des collègues hommes ou femmes qui déjeunent ensemble, une mère et son fils ado (il n’y a pas lycée mercredi après-midi, ou alors il est à la Fac et ne fout déjà pas grand chose?). Service gentil et assez efficace. S’il fallait faire un reproche, c’est ce putain de CD de Michael Jackson qui passait en boucle, avec parfois la répétition du même morceau!

Allez, hop, le Sensi, je n’y retournerai pas tout seul, mais si c’est dans le cadre du travail et que je suis invité, je prends. La prochaine fois, il faudra les orienter vers L’Empire du VIIe (que le FigaroScope découvre enfin! Ils n’ont que six mois de retard, moi ma première fois là bas, c’était en juin).