Comme je suis overbooké grave en ce moment, je réponds seulement maintenant à la chaîne de Yann sur la confiance que les français ont en leurs hommes ou femmes politiques.
Ça va être vite fait, c'est niet en général.
Au niveau municipal, c'est autre chose, les résultats, quand ils sont bons ou mauvais se voient au bout d'un mandat. C'est comme cela que dans mon ancienne commune, le maire d'un certain parti majoritaire a transformé la ville récupérée en état de délabrement en une ville qui ressemble à quelque chose.
Depuis il a été réélu et est même devenu député. Je n'ai rien à critiquer sur sa politique locale même si au niveau national il a des prises de parole à chier à l'image de son chef de parti, monsieur G1, responsabilité de cadre du parti oblige.
Au niveau national, on ne peux pas dire que l'on soit gâté entre les promesses et la réalité des faits, il y a souvent un boulevard, notre G1 national va de ce coté là atteindre le summum, il aura réussi à se mettre tout le monde à dos avec sa politique du tout pognon.
Ceci dit, les politiques sur certains sujets de société ne peuvent rien faire comme par exemple les délocalisations. Si notre G1 peut les encourager il le fait sans vergogne avec ses amis du Medef, par contre pour défendre les emplois c'est du "casse toi pov'con!", on connait ses amitiés avec les puissants et les patrons, il n'y a plus rien à en tirer. Ce qui donne des chiffres catastrophiques sur la confiance des français à son égard.
Maintenant, je ne fais pas confiance à ceux d'en face non plus mais je voterais contre Sarkozy d'office, ce président et son parti de nantis ont déjà fait beaucoup trop de dégâts. Je détestais déjà Chirac et son RPR, j’exècre maintenant Sarkozy et son UMP.
Alors je voterais pour le deuxième tour, direct, qu'on en finisse, que ce soit
Quoiqu'il en soit en 2012, les délocalisations continuerons, ce n'est pas les politiques qui ont du pouvoir au CAC 40.
De toutes façon, le seul pouvoir qu'aura le futur gouvernement c'est d'augmenter le SMIC, ce qui fera une belle jambe aux classes moyennes qui raquent.
Voilà, je suis comme beaucoup, je ne vote pas pour, je vote contre.