La ronde d’enfants aux cris jeunes
Sonne mon vieil âge dans ma poitrine
C’est une volée cruelle et belle
Dans la vieille tour dont toutes les pierres songent.
(Pierre Morhange)
La ronde d’enfants aux cris jeunes
Sonne mon vieil âge dans ma poitrine
C’est une volée cruelle et belle
Dans la vieille tour dont toutes les pierres songent.
(Pierre Morhange)