Il a fait plouf, un gros plouf et pour ceux qui préfèrent on peut dire Psccchhhiiitttt. Les deux mots désignent le même bouillon télévisuel indigeste et insipide . La Sarkauserie du jeudi faisait mal à la tête.
Merci à Large
Sarkophage n'a pas regardé. Il savait déjà ce qui allait être dit et n'avait pas besoin de se voir répéter les mêmes balivernes pour la 374ème fois. Et puis il ne fallait pas non plus enrichir un peu plus le roi du béton avec sa chaîne dédiée à l'abrutissement des masses.
Merci à Chimulus
Sarkozy hier a fêté avant l'heure la Saint Baratin. Et il a pour cela mis les petits plats dans les grands. Il faut dire qu'il a été beaucoup aidé par les derniers jours, riches en voix perdues pour la prochaine présidentielle.
Une ministre des affaires étangères qui en plus de participer au bling bling fait vroum vroum avec les avions. Un premier ministre qui ne fait pas mieux et implore le pardon de ses semblables pour l'horrible faute commise. Vous ajoutez à cela une fronde des juges jamais vue en France, une situation économique désastreuse et nous avions les conditions rêvées pour voir un festival de langue de bois.
Merci à Bar
Les termites auraient été heureuses sur le plateau de la chaîne Sarkozyste numéro 1. Tout a été fait pour que l'émission ressemble à la télé soviétique sous couvert de donner la parole à des français et de permettre un dialogue. En réalité tout était écrit d'avance et ce n'est pas le spécialiste de l'information qui a 40 ans de retard qui allait le contredire.
Merci à Chris
Alignant mensonges grossiers et arguments électoraux éculés, Sarkozy a fait du Sarkozy. Il a coûté cher en électricité et produit du vent, un peu plus de vent.
Les éditorialistes, pourtant pour la plupart favorables en 2007 au futur président des riches, ne l'ont pas loupé dans leurs journaux. Entre Pinocchio et garcimore, le coeur balance !
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