« Il faut que ceux qui veulent prier puissent prier, mais il faut aussi que ceux qui veulent boire l’apéro puissent boire l’apéro ». Ainsi parlait un jeune Tunisien à qui un journaliste français demandait, quelques jours après le départ de Ben Ali, si la Tunisie ne risquait pas de basculer du côté de l’intégrisme islamique
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