Après la lecture de quelques extraits sélectionnés et lus par une Nicole Fontaine débordante d’admiration pour le style de l’auteur, celui-ci a tenté de nous exposer sa démarche. Si je dis « tenté » c’est qu’il y a de quoi se perdre dans le dédale d’un projet né en 2002, dont le travail de recherche, d’enquête et de tâtonnement étalé sur huit années a débouché sur une œuvre fictive. La question n’est plus de savoir si le projet lui tenait à cœur mais plutôt pourquoi. Et pourquoi avoir choisi une œuvre fictive pour un arrière-fond historique si bien étayé.
Comme il est très géné
J’ai suppos
Chose certaine, je suis repartie avec une envie encore plus forte de le lire. Je n’ai malheureusement pas pu lui demander une dédicace, j’en avais déjà une ! Par contre, j’ai été le voir pour lui poser une question à laquelle je tenais : Quelle était son attitude avant la sortie, ressentait-il plus de trac qu’à une de ses œuvres antérieures ? J’ai eu le plaisir de l’entend
J’ai fréquemment entendu dire que la maison d’édition avait bien planifié son coup de sortir ce bouquin en même temps que la commémoration des 40 ans de la Crise d’octobre. Monsieur Hamelin a été clair là-dessus, son éditeur lui recommandait plutôt de ne pas appuyer sur le côté politico-historique de la Constellation du Lynx. Une belle surprise pour l’éditeur ...
Et maintenant, à moi d’être surprise ! On s’en reparle après ma lecture.
Nota bene : Première photo, sur le mur, les laminés exposés sont les 5 lettres gagnantes du concours de la Poste Restante de la dernière édition (8e) des Correspondances d'Eastman.