Source: Tazeen-tazeen.blogspot.com
Loulou Magazine, BCBG et les 3 vendeusesSource: Worldmags.net
Il était une fois 3 amies à essayer des robes chez BCBG sur Ste Catherine. Un mercredi soir d’hiver par une trop longue journée, sur fond de déception relationnel, une soirée fashion était tout indiquée. Malgré la lenteur et le brassage d’air des 3 vendeuses présentes et une ligne effrayante, j’ai tout de même acheté pour trois fois rien une petite robe corail foncé, presque tangerine, que j’ai déjà hâte de porter…Photo à venir promis. Dans ces moments là, on aime à remercier ses amies pleines de patience qui en profitent pour tomber en amour avec des montres très très mignonnes. Instant d’émotion c’est ma première BCBG. La housse est sublime. Le sac, immense, se donne des airs d’allure prêt à porter de luxe. Je suis conquise par le packaging. Le service, on repassera. Au moins, j’ai bénéficié d’un rabais plus qu’intéressant pour cet événement shopping Loulou Magazine à l’occasion du lancement du spécial Mariage. Et d’un sac cadeau au contenu utile. #SMM20 La Semaine de la Mode à Montréal reste la Semaine de la Mode à Montréal. Sans prétention aucune, je regrette quelques dysfonctionnements organisationnels qui me gâchent le plaisir. J’ai horreur du sous équipement. En matière d’habillement, d’électroménager, de cuisine, de make up, de sport. Bref sans être pour autant un chantre de la surconsommation à tout va, j’aime autant que l’argent soit employé à des dépenses utiles. Aussi aurais je quelques questions à l’intention de Sensation Mode ou de qui souhaitera me répondre : Pourquoi n’y a t-il pas de podium à la SMM ? Le chassé croisé des spectateurs des défilés a lieu dans cet inaccueillant et étroit vestibule, puis il nous faut nous masser jusqu’aux gradins, bondés. De plus on accède aux rangs supérieurs par le centre alors que des chaises ne permettent pas d’y monter par le devant. De là, suis un amoncellement de midinettes sur sapées, de vestes jetées à terre (dont la mienne). Sans un podium digne de ce nom, il est impossible de voir les chaussures. Sacrilège. Pourquoi n’y a t il pas de défilés hors les murs ? Musées, Centre des Sciences, galeries d’art ou églises pourraient offrir un cadre bien plus chaleureux aux défilés que le trop petit Marché Bonsecours. Certaines fashionita ne trouvent même pas le showroom sans demander… Il est certain que j’ai la critique facile, je vous avais prévenu. Seulement parfois il est bon de se poser quelques questions et tout est loin d’être mauvais, comme le prouve le très brillant système du UStream qui permet de voir les défilés sans y assister. Défilé Soia&Kyo Je suis rompue à Soia&Kyo : j’aime le dynamisme des pièces, l’actualité féroce des coupes mais aussi leur qualité intemporelle.
Source : Cyberpresse.ca
Je dois avouer que je suis également absolument conquise par le choix des mannequins : que de fraicheur, de grâce hipsteuresque, sans pour autant cette désagréable hauteur. Ces jeunes gens sont frais, ont bonne mine et belle figure, avec une démarche travaillée sans trop en faire.Source : Cyberpresse.ca
Pour cet hiver 2011 2012, j’ai particulièrement noté, côté filles, du soin employé à sélectionner les accessoires. Des lunettes d’écailles aux mi bas, en passant par les jupes camel un rien eighties, j’ai été conquise par cette mise en valeur très réussie des vestes, manteaux et doudounes. A notes les rappels sweater vus chez Jil Sander ou Chloé. Les teintes restent très sombres avec de nombreux marrons, ce dont je ne suis pas fan. J’ai davantage retenu une petite veste courte bleue et des manteaux plus classiques rouges foncés, qui ont l’ultime mérite d’apporter du caractère aux accessoires évoqués plus haut. Chez les garçons, le charme opère instantanément. Les tenues sont énergiques, mais aussi intellectuellement sexy. Les doudounes apportent un brin de chic et d’impertinence à des pièces qui restent assez classiques. Un grand bravo aux coiffeurs qui ont offert un beau travail tant chez les filles que les garçons !