Il a ouvert "une minute (ou deux) pour" après avoir fermé (la parenthèse) il y a un peu plus d'un an. "Une minute (ou deux) pour" était l'espoir après (la parenthèse) cauchemardesque. Et puis, la bête est revenue, plus féroce. Il s'est battu de toutes ses forces mais la bête a finalement eu raison de lui...
Mister Benbef, merci pour ce courage et pour cette leçon de vie... mais 32 ans, putain, c'est trop jeune pour partir...