Ce type est vraiment très familier. Il s'imagine que nous avons gardé les cochons ensemble ou quoi ? Je ne suis pas spécialement bégueule, mais il y a des limites à ne pas dépasser !
- Gras et sale comme un cochon, ce bonhomme n'est pas vraiment ragoûtant.
- Il doit certainement manger comme un cochon, s'empiffrer salement.
- Dans tout homme il y a un cochon qui sommeille. Il en faut peu pour réveiller l'animal chez ces messieurs !
- Inséparables, copains comme cochons, c'est ce qu'on peut dire de ton frère et de son ami.
- C'est vrai ? C'est faux ? C'est du lard ou du cochon ? Difficile de savoir.
- Quel sacré caractère ! Un vrai caractère de cochon et avec ça buté, têtu, une tête de cochon.
- Qui a fait ce travail de cochon ? Ni fait ni à faire. Allez, hop ! Recommence-moi ça !
- Comment ça ? Je te fais un tour de cochon, je te joue un sale tour ? Il fallait faire un travail propre et net, tu n'aurais pas à le refaire.
- Cochon qui s'en dédit. Je ne reviendrai pas sur cette décision.
- Même s'il fait un temps de cochon : d'accord, il pleut à verse et il fait froid. A ne pas mettre un chien dehors.
- Te donner une seconde chance serait donner de la confiture aux cochons : tu es incapable de la saisir et de l'apprécier !
- Je me disais pourtant : "Si les petits cochons ne la mangent pas", si elle continue comme elle a commencé, "nous ferons quelque chose d'elle"... J'espère ne pas m'être trompée...