D’aucun craignait qu’il ne se laisse envahir par la fébrilité. Il n’en montra rien. C’est décontracté et son éternel sourire aux lèvres que Jo-Wilfried Tsonga pénétrait, ce jeudi, sur la Rod Laver Arena. Le coupeur de têtes manceau, rebaptisé « Tsunami Tsonga » par la presse australienne, avait gardé de l’agressivité en réserve à l’heure de se frotter à l’épineux Nadal. Il faut dire que l’enjeu était de taille : un possible premier accessit en finale de Grand Chelem pour le Frenchie. Face au Majorquin, pas d’autre solution que d’ajouter les formes à la manière. Indéboulonnable numéro 2 mondial, le prodige de Manacor avait en effet les faveurs des pronostics. Une victoire en une seule rencontre face à Tsonga au troisième tour de l’US Open 2007, et une statistique impressionnante de 60 succès sur les 61 matchs au meilleur des cinq sets dont il avait remporté la première manche.
Jo-Wilfried Tsonga s’est qualifié jeudi pour sa première finale en Grand Chelem grâce à un succès exceptionnel (6-2, 6-3, 6-2) contre Rafael Nadal. Le Français tentera d’aller au bout de son rêve dimanche contre Federer ou Djokovic.
D’aucun craignait qu’il ne se laisse envahir par la fébrilité. Il n’en montra rien. C’est décontracté et son éternel sourire aux lèvres que Jo-Wilfried Tsonga pénétrait, ce jeudi, sur la Rod Laver Arena. Le coupeur de têtes manceau, rebaptisé « Tsunami Tsonga » par la presse australienne, avait gardé de l’agressivité en réserve à l’heure de se frotter à l’épineux Nadal. Il faut dire que l’enjeu était de taille : un possible premier accessit en finale de Grand Chelem pour le Frenchie. Face au Majorquin, pas d’autre solution que d’ajouter les formes à la manière. Indéboulonnable numéro 2 mondial, le prodige de Manacor avait en effet les faveurs des pronostics. Une victoire en une seule rencontre face à Tsonga au troisième tour de l’US Open 2007, et une statistique impressionnante de 60 succès sur les 61 matchs au meilleur des cinq sets dont il avait remporté la première manche.
D’aucun craignait qu’il ne se laisse envahir par la fébrilité. Il n’en montra rien. C’est décontracté et son éternel sourire aux lèvres que Jo-Wilfried Tsonga pénétrait, ce jeudi, sur la Rod Laver Arena. Le coupeur de têtes manceau, rebaptisé « Tsunami Tsonga » par la presse australienne, avait gardé de l’agressivité en réserve à l’heure de se frotter à l’épineux Nadal. Il faut dire que l’enjeu était de taille : un possible premier accessit en finale de Grand Chelem pour le Frenchie. Face au Majorquin, pas d’autre solution que d’ajouter les formes à la manière. Indéboulonnable numéro 2 mondial, le prodige de Manacor avait en effet les faveurs des pronostics. Une victoire en une seule rencontre face à Tsonga au troisième tour de l’US Open 2007, et une statistique impressionnante de 60 succès sur les 61 matchs au meilleur des cinq sets dont il avait remporté la première manche.