Dans le milieu culturel, le web, et son utilisation pour faire de la promotion est un incontournable. Si le web remplace bien l’affichage sauvage (surtout en hiver), pour rejoindre le public de Sept-îles à Sherbrooke il faut y aller avec des médias traditionnels.
La promotion d’un spectacle d’humour est très dispendieuse. Mon dernier périple de 10 jours en Abitibi a dû servir uniquement à payer le placement télé de l’automne dernier. C’est donc une très grosse partie d’un budget culturel peu importe le projet.
C’est pour vous dire que quand vous relayez un article concernant un spectacle, un disque, un film, un livre, et surtout quand vous relayez votre opinion (on espère positive) sur vos profils, vous contribuez de façon importante à soulager la dépendance aux bigs médias.
La promotion étant la première dépense c’est aussi la première a exiger remboursement. L’artiste, est celui que l’on paye en dernier, welcome in showbizznes.
C’est peut-être pour ça que j’aime bien la pub de Volkswagen avec le petit Darth Vader qu’on me réfère un peu partout, mais je ne peux m’empêcher de penser que leur vrai place est à la télé. Mais ainsi va le web, ça prend aussi des chars sur l’autoroute de l’information…