Je suis tout à fait d'accord que la loi de l'offre et la demande va très rapidement jouer et amener des ajustements drastiques dans la façon dont les humains devront alors réagir face à des situations dramatiques, mais mon point de vue était simplement de suggérer que, dans un monde déjà surpeuplé, il serait peut-être temps de changer la « devise » en cours et de laisser tomber cette « croissance » sacro-sainte en faveur d'une unité mesure plus durable dans un avenir prévisible.
Hier, l'un de mes fidèles lecteurs et ami (William Bocq) exprimait son désaccord avec mon blog du jour. Un de mes avatars lui a répondu brièvement, mais assez médiocrement. Aujourd'hui, je vais tenter de rectifier le tir. Le sujet de mon blog n'était pas tant sur les lois de l'économie (même si j'ai assez bêtement nommé le capitalisme), mais portait d'avantage sur le caractère illusoire d'un enrichissement lié à une croissance sans fin qui a été l'un des piliers de la doctrine capitaliste.
Au cours de la vie d'Adam Smith, la population mondiale était estimée à 800.000 personnes et la surpopulation n'était alors pas un problème. Bien que certains pensent que la croissance de la population mondiale peut s'infléchir, on en ait pas trop sûr et les estimations des Nations Unies pour le 22ème siècle tombent dans une fourchette comprise entre 5 et 14 milliards d'habitants.
Je suis tout à fait d'accord que la loi de l'offre et la demande va très rapidement jouer et amener des ajustements drastiques dans la façon dont les humains devront alors réagir face à des situations dramatiques, mais mon point de vue était simplement de suggérer que, dans un monde déjà surpeuplé, il serait peut-être temps de changer la « devise » en cours et de laisser tomber cette « croissance » sacro-sainte en faveur d'une unité mesure plus durable dans un avenir prévisible.
Je suis tout à fait d'accord que la loi de l'offre et la demande va très rapidement jouer et amener des ajustements drastiques dans la façon dont les humains devront alors réagir face à des situations dramatiques, mais mon point de vue était simplement de suggérer que, dans un monde déjà surpeuplé, il serait peut-être temps de changer la « devise » en cours et de laisser tomber cette « croissance » sacro-sainte en faveur d'une unité mesure plus durable dans un avenir prévisible.