Je ne comprends pas. Je me demande pourquoi.
Pourquoi ont eut lieu ces événements là.
Là où tu es à présent, que ressens-tu ?
Tu ne t'es pas battu, et tu t'es avouée vaincue.
Tu dis que c'est l'affliction, qui de toi a eut raison,
Tu dis que la nostalgie, avait pris le contrôle de ta vie,
Tu dis que la solitude, était devenue ton habitude,
Tu prétends que tu n'as pas eut d'autre choix, que de franchir le pas.
Tu prétends que trop de stress, aura fait disparaître ton allégresse,
Tu prétends que trop de doutes, t'auront fait quitter ta route,
Tu prétends que trop de blessures, t'auront mises au pied du mur,
Tu prétends que malgré notre existence, tu avais ce sentiment d'inexistence.
Je suis rentrée dans salle de bain, tu baignais dans ton sang,
Sans réfléchir, je me suis précipitée vers toi, maman,
« Maman, ne meurs pas ! Je t'en supplie ! Je vais chercher du secours,
Secours inutile, puisque tu as pris une destination sans retour.
J'avais dix ans, et je me retrouvais sans mère,
Quand je repense à toi, j'ai encore ce goût amer,
T'as laissé ta famille, écourté ta vie, nous laissant seuls ici,
Se battre ou se morfondre, toi tu as choisi.