la justice à deux vitesses du petit Nicolas

Un conseiller de l’Elysée échappe à un PV pour excès de vitesse… contrôlé, mais pas sanctionné…

L’information est publiée par la République du Centre…  Olivier Marleix est conseiller général d’Eure-et-Loir et maire de la petite commune d’Anet, il se trouve qu’il est aussi conseiller de Nicolas Sarkozy… Le 28 janvier, il circule sur une petite départementale dans sa région quand les gendarmes le prennent dans leurs jumelles laser. Verdict : 119 kilomètres heure pour une limitation à 70.

Pour vous et moi, c’était 135 euros d’amende et peut-être 4 points de moins sur le permis de conduire. Pas pour un conseiller de l’Elysée fils d’un ancien ministre, surtout quand il conduit dans son département une voiture du parc de l’Elysée… Selon la République du Centre, sur le bord de la route, Olivier Marleix a fait comprendre aux militaires courtoisement mais fermement que vu ses fonctions à l’Elysée, il était préférable de classer l’incident.

Toujours selon la « Rép », les amis politiques du conseiller sont aujourd’hui les plus sévères avec lui, et du côté de la gendarmerie inutile de dire qu’on a pas du tout apprécié : pas de sanction pour l’élu pour l’instant, mais un rapport a quand même été transmis à la Direction générale de la gendarmerie nationale.

Source : France Info, revue de presse et du web,  mardi 8 février 2011

(Seuls les liens sont de moi. By ©GdeC)

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Un conseiller de l’Elysée échappe à un PV pour excès de vitesse… contrôlé, mais pas sanctionné…

L’information est publiée par la République du Centre…  Olivier Marleix est conseiller général d’Eure-et-Loir et maire de la petite commune d’Anet, il se trouve qu’il est aussi conseiller de Nicolas Sarkozy… Le 28 janvier, il circule sur une petite départementale dans sa région quand les gendarmes le prennent dans leurs jumelles laser. Verdict : 119 kilomètres heure pour une limitation à 70.

Pour vous et moi, c’était 135 euros d’amende et peut-être 4 points de moins sur le permis de conduire. Pas pour un conseiller de l’Elysée fils d’un ancien ministre, surtout quand il conduit dans son département une voiture du parc de l’Elysée… Selon la République du Centre, sur le bord de la route, Olivier Marleix a fait comprendre aux militaires courtoisement mais fermement que vu ses fonctions à l’Elysée, il était préférable de classer l’incident.

Toujours selon la « Rép », les amis politiques du conseiller sont aujourd’hui les plus sévères avec lui, et du côté de la gendarmerie inutile de dire qu’on a pas du tout apprécié : pas de sanction pour l’élu pour l’instant, mais un rapport a quand même été transmis à la Direction générale de la gendarmerie nationale.

Source : France Info, revue de presse et du web,  mardi 8 février 2011

(Seuls les liens sont de moi. By ©GdeC)