Il s’en prend également aux syndicats qui réclament en masse des augmentations. « Leurs demandes sont injustifiées et totalement irréalistes, surtout si nous souhaitons traiter le problème de l’inflation. » L’homme d’affaires ajoute que l’inflation est « comme une taxe injuste qui, finalement, touche les classes les plus pauvres. Ce sont eux les grands perdants. »
Ratazzi fait d’ailleurs un jugement sans appel sur la situation économique en Argentine : « nous étions très compétitifs jusqu’en 2008, mais, depuis, nous dévalons la pente à grande vitesse. »