Magazine France
Mon séjour à Villiers le Bel lors de mon enquête sur le décès des deux jeunes français m'avait fait constater que le mot vengeance dominait tout. Il me souvient d'ailleurs, d'avoir retenu cette phrase: " Quand tout sera calme, nous allons remettre le feu tant qu'il n'y aura pas de justice pour Moushim et Lakami."
Apparemment donc, d'abord un, puis deux, puis trois, puis quatre et ensuite des groupes très organisé ont commencé à caillasser des bus.
Mon informateur me signale qu'en ce moment même, 20h42 à ma montre, il y a une arrivée massive de CRS sur place. Est-ce le déplacement du président de la République en banlieue, ou plutôt....à la gare de Sartrouville qui met le feu aux poudres ?
Je n'en sais pas plus pour l'instant.