Probablement l’une des plus belles voix que je connaisse. Après Bob Dylan, dans un registre bien différent, c’est en tout cas celle qui m’émeut le plus. Pureté et justesse viennent épouser des sonorités électriques presque saturées.
L’harmonica amplifie ce coté imparfait. On s’éloigne de la clarté et on tend vers une harmonie entremêlée d’excentricité et de pudeur.
La notoriété, Neil Young, l’acquit notamment grâce à une carrière solo éblouissante de part sa régularité. Une carrière presque dénuée d’imperfections. Malgré des périodes plus sombres sur le plan personnel, il continua d’enrichir sa discographie entre 1973 et 1975.
Neil young, ce n’est pas uniquement une carrière solo. Il est également à l’origine de Buffalo Springfield, groupe de rock américain de la fin des années 60, où il collabora avec Stephen Stills, Richie Furay, Dewey Martin et Bruce Palmer. Le chanteur canadien rejoignit ensuite le groupe phare du début des années 70 en phase avec les mouvements contestataires de cette époque : Crosby, Stills, Nash and Young. Le groupe s’illustra notamment au festival de Woodstock.
Neil Young est pour moi l’une des plus grandes figures du rock du 20ème siècle.
Neil Young – Alabama
Neil Young – Words (between the lines of age)
Neil Young – Out on the weekend
Neil Young – Heart of gold
Neil Young – Old man
Neil Young – The Needle and the damage done
Article écrit par Arthur Guillon, comme toutes les playlists du site TheBuzzBrowser !