Trop vivant, il ne put résoudre l’équation de l’oubli.
Sa présence atteste ces chemins morts qu’il porte,
faisceaux lumineux divaguant au gré des morsures.
(Bernard Montini)
Trop vivant, il ne put résoudre l’équation de l’oubli.
Sa présence atteste ces chemins morts qu’il porte,
faisceaux lumineux divaguant au gré des morsures.
(Bernard Montini)