Parfois d’un vol les oiseaux choisissent mon jardin
Et je les guette
Et j’aveugle ma tête
Mes cerises leur plaisent
Dans mes mains des cartes à jouer ont été mises
Et je vois que je suis attablé
(Pierre Morhange)
Parfois d’un vol les oiseaux choisissent mon jardin
Et je les guette
Et j’aveugle ma tête
Mes cerises leur plaisent
Dans mes mains des cartes à jouer ont été mises
Et je vois que je suis attablé
(Pierre Morhange)