La chronique du 4 février dans lequel il a tenté de « se débarrasser d’urgence de cette image d’anti-sarkozyste primaire », a la polémique du VRP cocainé (« Je le répète, il n’a jamais pris de stupéfiant, c’était une image ! Un clin d’œil facétieux à sa vivacité ! ») et un petit échange avec Jean-Francois Copé qu’il trouve être « le mec le plus à l’aise de toute la droite française » en se moquant de son rêve d’être un jour président :
Franz-Olivier Giesbert en recevant N. Bedos : J’ai lu que vous avez déclaré arrêter ?«
Nicolas Bedos : Non, non, parfois je suis de mauvaise humeur, parce qu’on m’a beaucoup emmerdé ces derniers temps (…) On sort des phrases de leur contexte, on me cherche des noises. Mais quand je suis ici, je prend mon pied, c’est une véritable drogue« .