Ma cousine Marcelle Perriod-Fraysse est morte. Avec son mari, edlle écrivait sous le nom commun de Michel Grimaud. LEs amateurs de science-fiction connaissent. Comme ma soeur Dominique et tant d'autres de ma famille, je l'ai peu connue. Le peu que je l'ai vue m'a fait du bien.
PAr une fausse adoption, par une approrpiation curieuse, on m'a éloigné de ma famille.On m'a élévé en "gentil petit garçon".un peu comme un caniche, un animal domestique, mignon et intelligent. puis, lâchelment, dès que 'jai posé les problèles d'un adolescent, hop, on m'a abandonné comme un chien encombrant. J'ai servi de distaction et j'ai compris depuis ce que sont les zamidézanimo les plus auto-déclarés: Au lieu d'être un toutou j'eusse aimé être un pittbull et mordre cruellement la main qui m'a nourri. Mais non, on me l'a trop dit, que je suis gentil...redevenir une bête plutôt qu'un animal.
Condescendance méprisante de la soeur, méchancété de la mère illusoire, dont j'ai cru si longtemps être le fils.Je ne le suis pas, tant mieux. Et la grand mère tranquile jouissant de son pouvoir et jugeant du bon goût, du mauvais goût, du bien, du mal, si méchamment parfois, sans appel toujours: mépris à tous les étages. La Germania, come je l'appemle, est un monde, était un monde dur, méchant, sous l'apparence bonaced'une tendresse bourrue! Ah! les vaches!
Et ma famille vraie plus tendre, je l'ai compris depuis... Bien sûr, je ne suis pas un enfant volé, ni adopté (surtout pas!!!: ça m'aurait donné une légitimité chez ces gens! On n'a pas voulu, non plus, m'ensigner la musique! il fallait que je demeure un animal domestique décoratif un Zamor blanc) mais on m'a dérobé jusqu'à mon prénom! Je ne l'ai connu que sur le tard. C'est une sorte de viol, avec le vrai en plus! c'est dégueulasse. Les enfants ne sont pas des jouets! Ces gens sont inhumains! Oui,je pense à Zamor, le petit hindou noir, jouet de la du Barrry
Et maintenant, ma cousine n'est plus. Je me disais que 'jallais faire signe, un jour... Mais il y a tant de distance, il y a eu tant de silence, venant de moi car je me sens ainsi, loin, pas à ma place...
Bah, elles m'aimaient bien un peu, ces femmes si possessives envers un si mignon petit toutou. Eles eurent si peu d'amur, que ça fait pas bézef! Je ne fais pas partie de cette famille.Je n'y reste relié que parune demi-soeur méprisante et des souvenirs.ainsi qu'une montruosité...Adios!
Marcelle, une PAcheco de Cespédès! Hasta luego! Et ce Pérou lointain qui coule dans mes veines.Tant d'absence, tant de mesonge.
Depuis je me méfie des amis des animaux. Comme devrient le faire mes frères chats et chiens, hamsters et cochons d'inde.Por les poissons rouge, ça me semblemoins grave: je me trompe peut-être. Tant qu'à être un objet autant l'être vraiment! J'étais décoratif. C'est déjà quelque chose.
Ceci est un petit coming out gentillet.Mais ça me secoue! Je rédige cette histoire, tendre et fausse, petit à petit... Je la dédierai peut-être aux chiens et aux chats, à la mémoirede Zamor, "petit nègre "mignon parmi les bichons, les lévriers, êtres bafoués par l'affichage d'amours bidons et fallacieux.encore plus aujourd'hui, l'animalisme devenant un des fleurons de la société marchande et de l'amour pour société du spectacle. Berck! bourgeoisie! Bardotisme!
Adieu cousine! Voici desfleus, un ramito, une chanson composée par notre grand-père, Juan-Luis de Cespédès, le fils d'El Cubano, qui s'est battu pour la liberté: http://www.youtube.com/watch?v=fVujk9GqCU4