Aujourd’hui, je peux dire que j’ai reçu mon premier revenu en tant qu’auteur. Ca fait drôle de dire ça de même. Ma maison d’édition m’a fourni le relevé des ventes se terminant en 2010 ainsi que mes redevances. J’ai été surpris car je croyais que c’était seulement 12 mois après la sortie. Je crois que c’est vrai que pour ceux du distributeur.
L’avantage pécuniaire ne figurait pas du tout dans les ambitions de ce premier livre. L’aventure, la découverte, l’ouverture dans le marché et tout simplement le désir de se faire lire étaient mes aspirations. Mais de recevoir un gage pour ses labeurs est toujours gratifiant et surtout que la somme est directement liée, au bout du compte, au nombre de lecteurs qui se sont procurés ma novella. Plaisir Ultime.
Et ce nombre de lecteurs, inscrit sur le relevé, m’a beaucoup impressionné.
Tout un “boost” en ce samedi matin. J’vous jure !