MARIE (Pierre Morhange)

Par Arbrealettres


MARIE

Si luisent les armes de ta chair
Je vois d’un coup le pique noir
De ton secret de reine de cartes
Mon coeur fermé s’ouvre

O prairie de velours et vous les perfidies
Les jeux secrets et les violences
De vous j’étais ignorant
Du bourreau et de la potence

(Pierre Morhange)


Illustration