Ils n’arrêtent pas de harceler les autres, ils ont toujours quelque chose à redire, quelque chose à critiquer, toujours des commentaires à faire. Ils ne sont pas parfait mais à les entendre on les prendrait pour « Jésus-Christ » ou « le prophète Mahomet ». Ils existent et nous savons tous que ce genre de personnes ne disparaîtra pas de si tôt. Nous devons tous subir leur harcèlement au bureau et cela rajoute un stress inutile à nos paisibles et heureux allers-retours vers nos lieux de travail.
Il est important que nous fassions bien notre travail et nous devrions toujours essayer de donner le meilleur de nous-mêmes. L’erreur est humaine mais elle demeure une possibilité qui ne devrait pas nous arrêter ou changer la vision que nous avons de notre travail.
Dès maintenant ne laissez plus les « bourreaux de bureau » vous marchez sur les pieds. Refusez que leurs critiques ridicules viennent perturber vos journées et votre travail. Décidez que votre valeur au travail ne peut être jugée que par vous-même et surtout que cela vous concerne vous, et personne d’autre. Enrichissez-vous des critiques constructives, celles qui sont dites avec amour et ignorez les « rats de bureau » et leurs ragots. Votre performance doit être dictée par votre propre évaluation objective de vos capacités. Jugez-vous en vous encourageant et en focalisant votre énergie sur vos points forts.Comme nous tous, vous subirez la trahison et la médiocrité de ces « bourreaux de bureau »; Il en a toujours été ainsi et cela le restera mais ne soyez pas amer, ne choisissez pas la rancœur, le ressentiment ou tout autre sentiment de cette nature. Souvent vous avez crié à « l’injustice » auprès de vos dirigeants qui ont peut-être compris vos angoisses mais qui n’ont pas fait grand chose. Souvent on ressort déçu de ces entretiens où l’on a l’impression que personne n’écoute. C’est triste mais hélas, c’est souvent le cas. « Les bourreaux de bureau» continueront probablement de critiquer votre efficacité, vos habits, vos cheveux, ils continueront à dire que vous ne travaillez pas assez, trop lentement, trop rapidement… Les plus mal habillés se transformeront en spécialistes auto-déclarés de la mode et ne tariront pas de critiques sur votre « look » ; d’autres spécialistes capillaires s’acharneront sur votre coiffure. Il y a aussi les spécialistes du retard qui, muni de montres « Suisse » d’origines douteuses, n’oublieront pas de vous rappeler la moindre seconde de retard ou d’avance que vous cumulez. Enfin il ya ceux qui auront pour mission personnelle de rechercher toutes les occasions de vous nuire !Ignorez-les et restez au-dessus de tout cela. Croyez en votre destin, qui d’ailleurs est déterminé par le divin. Votre destin ne dépend pas de l’appréciation de vos collègues. C’est votre providence, et elle est entre vos mains, dans la valeur de votre propre foi en vous-même, entre les mains de Dieu.Laissez-les faire et dire ce qu’ils veulent. Retrouvez votre paix, laissez la sérénité gagner du terrain dans votre cœur et votre vie.Vous ne verrez certes pas les choses changer aujourd'hui, demain, ni après-demain ; mais dès maintenant, c'est votre propre jugement qui s’appliquera et pas le jugement négatif des autres. À partir d’aujourd’hui décidez que leurs mots n'auront plus aucun impact sur vous. Regardez-les comme des spectateurs de leur propre « extravagance ». Ils ont un besoin maladif de se sentir important et surtout n'oubliez pas : « seul les verres vides ont besoin d’être remplit ».Pardonnez-leurs. Particulièrement aux indélicats qui, certainement, le méritent à peine, mais qui cependant n’ont pas besoin d'être «bénis» par votre animosité envers leur médiocrité et méchanceté. Déposez le fardeau de la haine à leurs pieds ; et réjouissez-vous à l'idée que votre destin vous appartient et que rien ni personne ne peut y changer quoi que ce soit.
Par Olivier N’da