Voici la fameuse chanson dont le magazine Pitchfork avait vanté les résonances gothiques.
On en avait parlé là, il y a quelque temps.
Si j’en crois les paroles, cette chanson serait une ironique diatribe contre la guerre ; derrière des vignettes plutôt flashy de l’Angleterre qui s’exhibe volontiers (pas encore vraiment Shakée, mais PJ s’y applique), elle égrène les horreurs crues et triviales d’une guerre qui ne s’oublie pas. Et le chant, pincé, finit d’appuyer là où ça fait mal.
Haaaaaaa ! PJ, I love you. PJ Harvey- The Words That Maketh Murder