Ce désaveu est le symptôme d'une absence de confiance vis-à-vis de la capacité du Chef de l'État à améliorer prioritairement la situation de l'emploi, le pouvoir d'achat et la réduction des inégalités des français.
En effet, 42% des français jugent que son action n'a eu aucun impact en matière d'emploi.
Mais quand Nicolas Sarkozy est assigné à l'impuissance par une majorité, une importante part des français (34%) le perçoit comme (un) "nuisible" lorsqu'elle juge, au contraire que son action a eu malgré tout un impact en matière d'emploi.
La part des optimistes a quant à elle fortement diminué depuis 2008. Le sondage indique ainsi qu'à cette époque, 53% des personnes jugeait l'action de Nicolas Sarkozy comme ayant un impact positif sur l'emploi. En 2009, ils n'étaient plus que 44% (contre 56% qui jugeaient son action négativement). Enfin, en 2010 ils ne sont plus que 33%, contre 67% qui estiment que cet impact est négatif.
Si vous voulez lire en intégralité le diagnostic de cet accès de fièvre des français, n'hésitez pas à télécharger ici les résultats du baromètre BVA.